Les sept mercenaires s'attaquent aux associations

Nous avions un  plan de redynamisation

Nous savions que la redynamisation d’une commune, commence par la redynamisation de ses habitants.

Nous savions que parmi les facteurs qui influent sur le développement économique et social d’un territoire, communale l’implication des acteurs, en particulier des élus, est une composante à la fois déterminante et évolutive.

La phobie destructrice

Ce que nous ne savions pas c’est que le coup de massue serait porté par les élus en question.

Ceux-ci nous parlent de l’immobilisme du maire, nous disent qu’ils veulent faire bouger les choses et au contraire, nous nous apercevons qu’ils bloquent,  qu’ils nous entraînent dans la division. A cause de leur lamentable stratégie nous n’avons pu recevoir de subvention.

Le croque en jambes

Mais ils ne s’en tiennent pas là, au lieu de renforcer les existences, d’apporter le soutien attendu de tous ceux qui se démènent depuis des années au sein des associations, ils créent par personnes interposées, tout de même membres des familles des intéressés, une association concurrente de celles existantes au plan local.

Mais ils n’apporteront rien de nouveau, sinon la division, ce qu’ils démontrent à chacune de leurs interventions.

Il y a un certain temps, nous avions fait confiance à tort

Nous exposions à certains d’entre eux :

• qu’une rencontre dynamique entre les projets individuels des diverses associations et le projet collectif du territoire bénéficierait à la fois aux créateurs et au territoire.
• Qu’une mise en relation avec les élus pour une écoute, une mise en confiance et une reconnaissance du ‘’projet’’, serait pleinement bénéfique.
• Que la définition d’un cheminement commun entre les associations - validation et reconnaissance du projet au regard de la réalité locale serait indispensable au rapprochement des habitants…

Nous nous étions donc trompés d’interlocuteurs, ils ont utilisé nos conseils et s’en sont mal servi au détriment de toute la population.

Ces réflexions n'engagent que leur auteur

Paul TAHAR